Nima Elbagir: qui est-elle? Quel est son parcours?

Nima Elbagir

Nima Elbagir est une journaliste soudanaise (née en juillet 1978 à Khartoum, au Soudan) et correspondante internationale de la télévision.

Grande admiration à NIMA ELBAGIR, la Journaliste qui a prise des hauts risques pour mettre à nu des vérités et grand respect à celle qui s'est déguisée en folle pour entrer dans le monde des fous afin de découvrir et faire connaître au monde entier les atrocités que vivent les africains dans cette partie du monde.

Elle a réussi à soulever la vérité sur la traite négrière en Libye. 
Mais, qui est-elle? Quel est son parcours?

Les premières années 

Nima Elbagir est née au Soudan en 1978. Le père d'Elbagir, Ahmed Abdullah Elbagir, était journaliste et a été emprisonné avant sa naissance. Ibtisam Affan, la mère d'Elbagir, a été le premier éditeur au Soudan. Elle appartient à Origines du Soudan du Nord. À l'âge de trois ans, elle a déménagé au Royaume-Uni. Et quand elle avait huit ans, elle a déménagé au Soudan. Après six ans au Soudan, elle est retournée au Royaume-Uni.

La nationalité de Nima Elbagir est soudanaise. Elbagir a assisté à l'éducation au Soudan et en Grande-Bretagne. Elbagir a assisté à la London School of Economic et a complété sa BSc. dans la philosophie. Elbagir est titulaire d'un BSc en philosophie de la London School of Economics. Elle parle couramment l'arabe et l'anglais. 

Nima Elbagir a rejoint CNN en tant que correspondant international basé à Londres. En 2008, elle a remporté deux prix de l'Association de la presse étrangère - l'histoire de l'actualité télévisée de l'année et le journaliste de l'année de l'émission (lauréate des lauréats). 

Elle avait été nominée pour d'autres prix, notamment le prix Amnesty pour le journalisme sur les droits de l'homme et les One World Broadcast Awards. 
En 2008, elle a été présélectionnée pour le prix du Jeune journaliste de l'année à la Royal Television Society Awards et en 2016, la société l'a nommée Journaliste spécialisée de l'année. Son travail l'a amenée «dans certains des endroits les plus sombres et les plus difficiles à dénoncer au cours des 12 derniers mois», a déclaré la citation, ajoutant qu'Elbagir avait «fait preuve d'une grande détermination et d'une profonde humanité. Elle a souligné le sort des jeunes qui se déplacent entre les continents et a eu les compétences linguistiques pour suivre leur voyage d'une manière que personne d'autre ne pourrait atteindre ». 'Ses reportages intrépides d'Afrique et du Moyen-Orient' signifiaient qu'elle 'était comparée à la vétérane de [CNN] Christiane Amanpour', a écrit la commentatrice des médias Maggie Brown dans The Observer du 27 février 2016.

Carrière

Nima Elbagir, correspondante de CNN, accepte le Peabody pour la couverture par CNN des écolières nigérianes kidnappées. Elle est rejointe sur scène par Isha Sesay.

Elbagir a commencé sa carrière journalistique avec Reuters en décembre 2002, en reportant pour eux du Soudan, couvrant le conflit qui couvait dans la région du Darfour. En 2005, elle a rejoint le lancement de More News où ses exclusivités incluaient des allégations de viol contre l'Union Africaine au Darfour, la première entrevue avec le lanceur d'alerte d'Aegis sur les vidéos du trophée irakien. citation nécessaire] interviewer Jacob Zuma dans la préparation de son procès de viol de 2006 et a rapporté de Mogadiscio pendant l'attentat américain de la Somalie en janvier 2007 

Dans son premier documentaire avec Unreported World 'Meet the Janjaweed' elle a obtenu un accès sans précédent à Mohammed Hamdan Dogolo, alias 'Hemeti', l'un des principaux commandants arabes Janjaweed au cœur des combats au Darfour. [La citation nécessaire] Elbagir et son directeur Andrew Carter a filmé les cartes d'identité de l'armée soudanaise et les armes fabriquées en Chine - diffusant la première preuve documentaire * de l'implication directe du gouvernement soudanais avec les Janjaouid et du rôle joué par les ventes d'armes au Darfour dans ce conflit.

BIOGRAPHIE

Nima Elbagir est un correspondant international senior primé basé au siège européen de CNN à Londres.

Elbagir a rejoint CNN en février 2011 en tant que journaliste basé au bureau de Johannesburg du réseau, avant de déménager plus tard à Nairobi. L'Afrique a été au centre de ses reportages pour CNN et a été à l'avant-garde de presque toutes les grandes nouvelles du continent au cours des trois dernières années.

Au péril de sa vie, elle a fait état de l'épidémie d'Ebola qui a ravagé l'Afrique de l'Ouest, pénétré dans les zones de quarantaine du Libéria et exploré les ravages causés par la maladie dans les communautés urbaines et rurales. Elbagir a également été le premier journaliste international à rapporter de Chibok, le village du nord du Nigeria, d'où plus de 250 écolières ont été enlevées par le groupe terroriste Boko Haram. Ici, elle a pu interviewer deux jeunes filles qui avaient réussi à s'échapper et qui ont décrit l'épreuve de la capture et la peur qu'elles ressentaient maintenant.

Elbagir a également dirigé la couverture de CNN sur la violence en spirale qui a englouti la République centrafricaine, voyageant avec les troupes françaises alors qu'ils travaillaient pour négocier la paix entre les combattants musulmans et chrétiens retranchés.

Elle a également été signalée en Somalie au plus fort de la famine dans la Corne de l'Afrique; elle a obtenu un entretien téléphonique exclusif à Tripoli avec Safia Kadhafi, l'épouse de l'ancien dirigeant libyen; suite à la révolution en Egypte, Elbagir a interviewé le ministre de la Justice Mohamed Abdelaziz al-Juindy, qui a appelé l'ancien président égyptien Hosni Moubarak à faire face à la peine de mort; elle a rapporté du Soudan du Sud comme le nouveau pays africain a célébré l'indépendance.

Avant cela, pendant son temps libre pour CNN, les histoires qu'elle a couvertes pendant cette période incluaient l'escalade de la violence contre les femmes au Congo; Le 50e anniversaire de l'indépendance du Nigéria; le référendum sud-soudanais; et la couverture de CNN du Hajj.

Avant de rejoindre CNN, Elbagir, d'origine soudanaise, a occupé diverses fonctions pour la chaîne britannique Channel 4 pendant un certain nombre d'années à partir de 2005: elle a été indépendante de Kaboul pour Channel 4 News; signalé pour le volet documentaire «Unreported World»; et les deux ont rapporté et présenté pour Channel 4 News et More4 News.

Pendant cette période, les exclusivités d'Elbagir comprenaient la première entrevue avec le lanceur d'alerte de la société de sécurité Aegis sur les «Trophy Videos» de l'Irak (2005); interviewer Jacob Zuma à l'approche de son procès pour viol (2006); étant le seul journaliste occidental à avoir signalé des faits à Mogadiscio lors du bombardement de la Somalie par les États-Unis (2007); et diffuser les premières preuves télévisées d'armes iraniennes introduites clandestinement aux talibans (2009).

Elbagir a commencé sa carrière journalistique en tant que stringer avec Reuters en 2002, rapportant du Soudan, et l'une des premières à fournir des images de l'intérieur du Darfour; tout en déposant des documents pour The Economist, le FT et Radio France International. Elle est restée avec Reuters en tant que stagiaire diplômé à Londres jusqu'en 2005.

Elbagir a remporté deux prix de l'Association de la Presse Étrangère - Histoire de l'année à la télévision et Journaliste de l'année pour un article de Channel 4 News sur la Somalie, tous deux 2008; et a été nominé pour de nombreux autres prix, notamment les prix Amnesty et les One World Broadcast Awards.

Parlant couramment l'anglais et l'arabe, elle détient un BSc. Hons in Philosophy de la London School of Economics.