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RADIO TANKONNON

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Donald Trump de retour sur la scène politique, avec le même discours

Publié par RADIO TAN KONNON sur 1 Mars 2021, 11:18am

Catégories : #ACTUALITE

Fake news, élection truquée... L'ancien président, privé de Twitter, a ressorti les mêmes attaques à la CPAC malgré son départ de la Maison Blanche depuis plus d'un mois.

ÉTATS-UNIS - Il n’a rien changé. De retour dans l’arène politique face à une foule de conservateurs enthousiastes, Donald Trump a ressorti son même discours ce dimanche 28 février.

“Nous sommes engagés dans une lutte pour la survie de l’Amérique comme nous la connaissons”, a déclaré le milliardaire américain pendant ce discours décousu d’une heure et demie qui venait conclure la CPAC, grand-messe annuelle des conservateurs à Orlando en Floride.

“C’est une lutte. C’est une lutte terrible, terrible, douloureuse”, a-t-il ajouté lors de sa première allocution depuis son départ de la Maison Blanche le 20 janvier. “Mais à la fin nous gagnons toujours”.

"À la fin, nous l’emporterons”
Refusant toujours d’admettre sa défaite électorale face à Joe Biden et répétant que la présidentielle de novembre avait été “injuste”, il s’est montré déterminé à s’assurer que son mouvement populiste gardera bien le contrôle d’un Parti républicain qui peine à masquer ses divisions.

“Le parcours incroyable que nous avons entamé ensemble (...) est loin d’être fini”, a-t-il dit. “Et à la fin, nous l’emporterons”. “Nous n’allons pas créer de nouveaux partis, nous n’allons pas diviser notre pouvoir. Nous serons unis et puissants comme jamais”, a-t-il dit après s’être, comme à son habitude, attaqué aux médias qui, selon lui, propagent des fake news. 

Donald Trump: "We're not starting new parties. You know, they kept saying he's going to start a brand new party. We have the Republican Party. It's going to unite and be stronger than ever before. I am not starting a new party." https://t.co/ygnPcoXx2Apic.twitter.com/elkaRe1vCQ

— The Hill (@thehill) March 1, 2021
 
L’homme d’affaires de 74 ans a laissé entendre, sans l’affirmer clairement, qu’il pourrait se représenter à l’élection présidentielle de 2024. “Avec votre aide, nous reprendrons la Chambre des représentants, nous reprendrons le Sénat, et ensuite un président républicain fera un retour triomphant à la Maison Blanche ―Je me demande bien qui ce sera”, a-t-il dit sous les acclamations.

“Mois désastreux”
Banni des réseaux sociaux, dont son canal de communication favori, Twitter, Trump a dénoncé la politique d’immigration de son successeur Joe Biden, affirmant que le président démocrate vient d’achever “le premier mois le plus désastreux” de l’histoire de la présidence américaine.

Trump, without a shred of irony, claims Biden is the most corrupt president in history (Trump owned and profited from a private business while in office, and benefitted from lavish Secret Service expenses at his properties) pic.twitter.com/rm0UNxME4M

— Aaron Rupar (@atrupar) February 28, 2021

L’an dernier j’avais prédit que la corruption, l’extrémisme et l’incompétence de l’administration Biden seraient sans précédent. Malheureusement il prouve que j’avais raison”, a notamment déclaré Trump qui a une fois de plus contesté les résultats de l’élection.

“Le vote était truqué” a lancé l’ex-président qui a estimé que la Cour suprême n’avait pas fait son travail en refusant d’invalider le scrutin. “Ils n’ont pas eu le courage de prendre la bonne décision”. 

"This election was rigged," Trump lies, prompting CPAC attendees to chant, 'you won! you won!"

Trump then attacks the Supreme Court for not overthrowing the election result for him

"The didn't have the guts or the courage to make the right decision," Trump says pic.twitter.com/HYo4IiaWFI

— Aaron Rupar (@atrupar) February 28, 2021

Même si le parti républicain est actuellement divisé, les participants à la conférence d’Orlando lui étaient tout acquis, à l’image des drapeaux et casquettes qu’ils arboraient, pour beaucoup estampillés “Trump”, et de cette immense statue dorée à l’effigie du milliardaire de 74 ans qui trônait dans le hall de la conférence.

Golden Trump statue turning heads at CPAC was made in … Mexico https://t.co/7DmLuRo4Nk via @Yahoo

— Don Winslow (@donwinslow) February 27, 2021

Selon un sondage mené dans la foule et publié juste avant son discours, près de 70% des participants voulaient qu’il se représente à la présidentielle. Questionnés sur l’avenir du parti républicain, 95% d’entre eux se sont prononcés pour qu’il poursuive son programme populiste. Mais seuls 55% d’entre eux pensaient qu’il devrait être le candidat du parti républicain en 2024.

À voir également sur Le HuffPost: Donald Trump sort de son silence, pour la première fois depuis son départ


Le HuffPost avec AFP

ÉTATS-UNIS - Il n’a rien changé. De retour dans l’arène politique face à une foule de conservateurs enthousiastes, Donald Trump a ressorti son même discours ce dimanche 28 février.

“Nous sommes engagés dans une lutte pour la survie de l’Amérique comme nous la connaissons”, a déclaré le milliardaire américain pendant ce discours décousu d’une heure et demie qui venait conclure la CPAC, grand-messe annuelle des conservateurs à Orlando en Floride.

“C’est une lutte. C’est une lutte terrible, terrible, douloureuse”, a-t-il ajouté lors de sa première allocution depuis son départ de la Maison Blanche le 20 janvier. “Mais à la fin nous gagnons toujours”.

"À la fin, nous l’emporterons”
Refusant toujours d’admettre sa défaite électorale face à Joe Biden et répétant que la présidentielle de novembre avait été “injuste”, il s’est montré déterminé à s’assurer que son mouvement populiste gardera bien le contrôle d’un Parti républicain qui peine à masquer ses divisions.

“Le parcours incroyable que nous avons entamé ensemble (...) est loin d’être fini”, a-t-il dit. “Et à la fin, nous l’emporterons”. “Nous n’allons pas créer de nouveaux partis, nous n’allons pas diviser notre pouvoir. Nous serons unis et puissants comme jamais”, a-t-il dit après s’être, comme à son habitude, attaqué aux médias qui, selon lui, propagent des fake news. 

L’homme d’affaires de 74 ans a laissé entendre, sans l’affirmer clairement, qu’il pourrait se représenter à l’élection présidentielle de 2024. “Avec votre aide, nous reprendrons la Chambre des représentants, nous reprendrons le Sénat, et ensuite un président républicain fera un retour triomphant à la Maison Blanche ―Je me demande bien qui ce sera”, a-t-il dit sous les acclamations.

“Mois désastreux”
Banni des réseaux sociaux, dont son canal de communication favori, Twitter, Trump a dénoncé la politique d’immigration de son successeur Joe Biden, affirmant que le président démocrate vient d’achever “le premier mois le plus désastreux” de l’histoire de la présidence américaine.

L’an dernier j’avais prédit que la corruption, l’extrémisme et l’incompétence de l’administration Biden seraient sans précédent. Malheureusement il prouve que j’avais raison”, a notamment déclaré Trump qui a une fois de plus contesté les résultats de l’élection.

“Le vote était truqué” a lancé l’ex-président qui a estimé que la Cour suprême n’avait pas fait son travail en refusant d’invalider le scrutin. “Ils n’ont pas eu le courage de prendre la bonne décision”. 

— Aaron Rupar (@atrupar) February 28, 2021

Même si le parti républicain est actuellement divisé, les participants à la conférence d’Orlando lui étaient tout acquis, à l’image des drapeaux et casquettes qu’ils arboraient, pour beaucoup estampillés “Trump”, et de cette immense statue dorée à l’effigie du milliardaire de 74 ans qui trônait dans le hall de la conférence.

— Don Winslow (@donwinslow) February 27, 2021

Golden Trump statue turning heads at CPAC was made in … Mexico
Golden Trump statue turning heads at CPAC was made in … Mexico

Selon un sondage mené dans la foule et publié juste avant son discours, près de 70% des participants voulaient qu’il se représente à la présidentielle. Questionnés sur l’avenir du parti républicain, 95% d’entre eux se sont prononcés pour qu’il poursuive son programme populiste. Mais seuls 55% d’entre eux pensaient qu’il devrait être le candidat du parti républicain en 2024.

À voir également sur Le HuffPost: Donald Trump sort de son silence, pour la première fois depuis son dépar

Le HuffPost avec AFP

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