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Le Président du Faso Capitaine Ibrahim Traoré initie une nouvelle ère de transparence et de bonne gouvernance

Publié par RADIO TAN KONNON sur 16 Juillet 2024, 16:29pm

Catégories : #ACTUALITE

Ouagadougou, Burkina Faso, 16 juillet 2024Dans un geste fort et symbolique en faveur de la transparence et de la bonne gouvernance, le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a officiellement reçu ce mardi le code d’éthique et de déontologie ainsi que les arrêtés instituant ce code et portant création d’une cellule anticorruption au sein de la Présidence du Faso. Cet événement marque une étape décisive dans la lutte contre la corruption et la promotion de la justice et de l’égalité au Burkina Faso.

La Présidence du Faso se dote d’un code d’éthique et de déontologie
La Présidence du Faso se dote d’un code d’éthique et de déontologie

Un engagement solennel pour l’éthique et la déontologie
La remise des documents par le Directeur de cabinet du Président du Faso, Martha Céleste Anderson Dekomwin Medah, a été un moment empreint de solennité. M. Medah a souligné que la Charte de la Transition rappelle des valeurs fondamentales telles que la justice, l’égalité, la lutte contre la corruption et la promotion de la bonne gouvernance et de la méritocratie. « C’est ce qui a prévalu à ce qu’au sein de la Présidence du Faso, nous puissions mettre en place des outils, afin de mieux nous guider vers cet idéal », a-t-il expliqué.

Le nouveau code d’éthique et de déontologie, adopté par la Présidence du Faso, vise à instaurer une culture de probité et de responsabilité parmi le personnel. Il définit des normes claires de conduite et de comportement, renforçant ainsi l’intégrité des agents de la Présidence. Ce code est conçu pour être un guide pratique et accessible, aidant chaque membre du personnel à naviguer les défis éthiques et à prendre des décisions alignées avec les valeurs de la République.

Création d’une cellule anticorruption : Un instrument de vigilance et de réforme
La cellule anticorruption, désormais instituée au sein de la Présidence du Faso, représente une innovation majeure dans le dispositif de lutte contre la corruption. Sous la tutelle de la Direction des Ressources humaines, cette cellule est chargée de prévenir, détecter et traiter les actes de corruption. Elle s’appuiera sur un comité dédié, doté de l’autorité nécessaire pour mener des enquêtes internes et collaborer avec les autorités judiciaires.

« Le comité sera chargé de traiter les dossiers, dans un esprit d’écoute et de dialogue afin de promouvoir la cohésion dans le travail. En cas de manquement, le comité anticorruption va se référer aux dispositions juridiques comme le code de procédure pénale, les statuts particuliers régissant les institutions », a précisé le Directeur de Cabinet, le Capitaine Medah. Cette approche rigoureuse et systématique est destinée à assurer que toute forme de corruption soit traitée avec la plus grande sévérité, tout en respectant les droits des individus concernés.

Un appel à l’action pour toutes les institutions
Le Capitaine Ibrahim Traoré et son équipe espèrent que cet exemple sera suivi par tous les départements ministériels et les institutions publiques du pays. L’appel du Directeur de cabinet à ces entités pour créer leurs propres cellules anticorruption et pour dynamiser la lutte contre les maux qui minent notre société, est un signal clair de la volonté de l'administration de faire de la transparence et de la responsabilité des priorités nationales.

Un pas de géant vers la bonne gouvernance
Cette initiative de la Présidence du Faso s’inscrit dans une série d’actions menées par le gouvernement pour améliorer la gouvernance et rétablir la confiance des citoyens dans les institutions publiques. Sous la direction du Président Traoré, le Burkina Faso a intensifié ses efforts pour combattre la corruption, améliorer la transparence des finances publiques et promouvoir l'efficacité administrative.

L'adoption de ce code d’éthique et de déontologie, ainsi que la création de la cellule anticorruption, sont des mesures qui renforcent ces efforts et établissent des standards élevés pour l’ensemble des agents de l’État. En engageant cette réforme, la Présidence du Faso montre la voie et démontre son engagement inébranlable à transformer les pratiques de gouvernance au Burkina Faso.

Une vision d’avenir
L’instauration de ces mesures est également une réponse aux attentes croissantes des citoyens burkinabè qui demandent des actions concrètes contre la corruption et pour une gestion plus transparente des affaires publiques. En prenant de telles initiatives, le Président Traoré et son administration envoient un message fort : celui d’un Burkina Faso qui se tourne résolument vers l’avenir, avec des institutions solides et intègres.

Alors que la cellule anticorruption commence ses travaux, elle sera observée de près tant au niveau national qu'international. Son succès dépendra de la volonté et de l’engagement de tous les acteurs impliqués, mais aussi de la coopération des citoyens qui sont appelés à être des vigies de l’intégrité.

Conclusion
L'initiative de la Présidence du Faso d'adopter un code d’éthique et de déontologie et de créer une cellule anticorruption est un jalon historique dans la lutte contre la corruption au Burkina Faso. Elle symbolise l’engagement du Président Ibrahim Traoré à instaurer une culture de transparence, de responsabilité et de bonne gouvernance. En invitant tous les départements ministériels et les institutions à suivre cet exemple, le Président du Faso pave la voie pour un avenir où l’intégrité et l’éthique sont au cœur de la gestion publique, renforçant ainsi la confiance des citoyens dans leurs institutions et leur gouvernance.

Saidicus Leberger
Pour Radio TANKONNON 

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