Deux ans après la prise de pouvoir par le Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR), dirigé par le Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso vit une véritable transformation. Ce changement, à la fois structurel et mental, a su redonner confiance à une population éprouvée par l’instabilité sécuritaire et la dépendance vis-à-vis de l’extérieur. Aujourd’hui, plus que jamais, les Burkinabè se tournent vers eux-mêmes, dans un élan de souveraineté reconquise, de patriotisme revitalisé et de combativité retrouvée.
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Sous l’impulsion du Capitaine Traoré, les Burkinabè ont su s’organiser pour relever les défis imposés par un contexte de guerre contre le terrorisme, mais également de lutte contre les résurgences néocoloniales qui continuent d’affaiblir bon nombre de pays africains. La nouvelle mentalité forgée au fil de ces deux années a placé la confiance en soi et l’autodétermination au cœur des priorités nationales, tant dans la défense du territoire que dans la gestion des affaires de l’État.
L’autosuffisance au cœur de la politique du MPSR
Depuis le renversement de l’ancien régime, le Capitaine Ibrahim Traoré a fait de l’autosuffisance une priorité stratégique. Conscient de la précarité des relations internationales et du poids parfois néfaste de certaines formes d’aide extérieure, il a rapidement entrepris de recentrer l’économie et la politique burkinabè sur des ressources internes. Cette volonté s’est concrétisée de manière éclatante dans la gestion des financements liés à la guerre contre le terrorisme.
Dès les premiers mois, le MPSR a initié une démarche audacieuse de mobilisation des ressources internes pour financer à la fois la guerre et les projets de développement. Le Fonds de soutien patriotique, mis en place pour canaliser ces ressources, a dépassé toutes les attentes. À la date du 30 septembre 2024, plus de 130 milliards de francs CFA avaient déjà été mobilisés, soit 130 % des objectifs fixés pour l’année, un résultat d’autant plus impressionnant qu’il reste encore un trimestre à couvrir.
Cet exploit est non seulement le reflet d’une gestion efficace des finances publiques, mais aussi d’un sentiment profond de responsabilité citoyenne. La population burkinabè, encouragée par les actions transparentes du gouvernement, a répondu avec enthousiasme à l’appel de la nation. Ce succès éclatant témoigne d’une véritable prise de conscience collective, une volonté partagée de faire face aux défis en s’appuyant sur les seules forces du pays.
Une nouvelle génération de combattants
L’un des signes les plus marquants de cette renaissance burkinabè est l’élan patriotique des jeunes, qui se sont appropriés la lutte contre le terrorisme. Loin de se laisser abattre par la peur ou l’incertitude, ils ont choisi de s’engager pleinement dans la défense de la nation. À chaque appel à candidature pour rejoindre les rangs des forces armées ou des forces de sécurité intérieure, des milliers de jeunes se bousculent pour être enrôlés. Ce phénomène, qui ne cesse de prendre de l’ampleur, symbolise un retour à une mentalité combattive, où l’engagement pour la patrie devient une fierté et un devoir moral.
Cet enthousiasme des jeunes pour défendre le pays n’est pas un phénomène isolé. Il s’inscrit dans un contexte plus large où les Burkinabè, dans leur ensemble, ont décidé de ne plus compter uniquement sur l’assistance extérieure pour assurer leur sécurité et leur développement. Dans chaque village, chaque communauté, l’esprit de résistance et de résilience a pris le dessus, unissant les citoyens autour d’un objectif commun : restaurer la paix et la souveraineté sur l’ensemble du territoire.
La révision des partenariats extérieurs
Un autre pilier de la politique menée par le Capitaine Ibrahim Traoré est la reconfiguration des relations internationales du Burkina Faso. Pour lui, les partenaires extérieurs doivent désormais être choisis avec soin. Il ne s’agit plus de signer des accords aveuglément ou d’accepter des aides sans condition. Les partenaires sont triés sur le volet, et seuls ceux qui font preuve de sincérité, de respect mutuel et d’engagement véritable retiennent l’attention du nouveau Burkina Faso.
Cette réorientation diplomatique s’accompagne d’une fierté retrouvée chez les Burkinabè. Fini le temps où l’on se contentait d’attendre des solutions venues de l’extérieur. Aujourd’hui, chaque partenariat est évalué sous le prisme des intérêts nationaux, avec pour objectif de renforcer l’autonomie du pays. Cette démarche rigoureuse est un signe supplémentaire du renouveau burkinabè, une volonté d’affirmer son indépendance dans un monde de plus en plus compétitif et complexe.
Une fraternité renforcée avec le Mali et le Niger
Ce nouvel élan de souveraineté nationale ne s’arrête pas aux frontières du Burkina Faso. Il s’étend à ses voisins directs, le Mali et le Niger, qui partagent avec lui les mêmes défis sécuritaires et géopolitiques. Ensemble, les trois nations ont amorcé un processus historique : la confédération des États du Sahel. Cette alliance, encore embryonnaire, repose sur un objectif commun : unir leurs forces pour mieux défendre leur territoire contre les menaces terroristes et s’affranchir des ingérences extérieures.
Ce projet confédéral, qui puise ses racines dans une solidarité naturelle entre les peuples du Sahel, est également le fruit d’un pragmatisme politique. Face aux défis partagés, seule l’union peut permettre de bâtir une résistance efficace. Le Capitaine Traoré, aux côtés de ses homologues maliens et nigériens, a pris la tête de cette initiative qui pourrait transformer la région en une puissance collective capable de résister aux turbulences géopolitiques et de tracer sa propre voie.
La bonne gouvernance comme socle de la réussite
La réussite du MPSR sous la direction d’Ibrahim Traoré ne saurait se comprendre sans évoquer l’importance capitale accordée à la transparence et à la redevabilité dans la gestion de l’État. Depuis son accession au pouvoir, le Capitaine Traoré a fait de la bonne gouvernance une priorité. Cette approche a permis de restaurer la confiance des citoyens dans leurs institutions et de renforcer leur engagement pour le développement national.
Sous le MPSR, les ressources publiques sont gérées avec rigueur, et chaque décision est soumise à une logique de responsabilité et d’efficacité. Les dérives du passé, marquées par des scandales de corruption et une mauvaise gestion, sont désormais combattues avec détermination. Cette nouvelle ère de gouvernance a permis d’améliorer significativement les performances des différents secteurs d’activité, et les résultats sont déjà visibles.
Les résultats perceptibles dans tous les secteurs
Au-delà des avancées sécuritaires et de la mobilisation des ressources internes, les résultats du MPSR se manifestent dans l’ensemble des secteurs. Les infrastructures se modernisent, l’accès aux services de base s’améliore, et l’économie connaît une reprise progressive, malgré les contraintes imposées par le contexte sécuritaire.
Le secteur agricole, vital pour le pays, a bénéficié d’un soutien accru, avec des politiques visant à renforcer la sécurité alimentaire et à promouvoir l’agro-industrie. Le développement des énergies renouvelables, l’amélioration des infrastructures de santé, et la réforme du système éducatif font également partie des priorités gouvernementales. Chaque action s’inscrit dans une vision globale, celle d’un Burkina Faso souverain, prospère et résilient.
Vers la poursuite des offensives pour la victoire finale
Malgré ces succès, le Capitaine Ibrahim Traoré reste conscient des défis colossaux qui persistent. La guerre contre le terrorisme n’est pas encore gagnée, et les menaces à la souveraineté nationale demeurent réelles. Toutefois, fort du soutien indéfectible de son peuple, le MPSR continue de mener des offensives sur tous les fronts.
L’heure n’est pas seulement au bilan, bien que les résultats soient d’ores et déjà visibles et encourageants. L’heure est avant tout à la poursuite des efforts, à l’intensification des actions pour garantir une victoire durable, non seulement contre l’ennemi terroriste, mais aussi contre toutes les formes de domination et de dépendance qui ont longtemps freiné le développement du Burkina Faso.
Conclusion
En seulement deux ans, le Capitaine Ibrahim Traoré et le MPSR ont réussi à transformer en profondeur le Burkina Faso. En rétablissant la confiance du peuple dans ses propres capacités, en renforçant l’autonomie du pays et en prônant une gestion rigoureuse et transparente, ils ont insufflé une nouvelle dynamique à la nation. Le Burkina Faso, autrefois fragilisé, se tient désormais debout, prêt à affronter les défis à venir avec détermination, fierté et une confiance inébranlable en sa capacité à triompher.
Saidicus Leberger
Pour Radio Tankonnon