Sous le leadership du capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso connaît une nouvelle impulsion dans la valorisation de son riche patrimoine culturel et artisanal. Ce 17ᵉ Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO) reflète l’engagement déterminé de cet officier défenseur des valeurs culturelles à promouvoir les trésors artistiques et traditionnels de son pays. La participation active du Président à cet événement emblématique souligne une orientation nouvelle : celle d’un chef d’État qui met en avant les savoir-faire locaux, encourage la préservation de la culture burkinabè et hisse l’artisanat au rang de levier stratégique pour le développement socio-économique.
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Un engagement culturel affirmé
Depuis son ascension à la tête de l’État le 30 septembre 2022, le capitaine Ibrahim Traoré s’est démarqué par une volonté manifeste de restaurer et de célébrer l’identité culturelle burkinabè. Il a non seulement permis la tenue à bonne date de toutes les manifestations culturelles prévues, mais en a aussi renforcé la portée, invitant les Burkinabè et les partenaires étrangers à redécouvrir des rendez-vous incontournables tels que le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO), la Semaine nationale de la culture (SNC) et le SIAO. En choisissant de soutenir et de participer activement à ces événements, il démontre que pour lui, la culture n’est pas un simple domaine accessoire, mais un pilier fondamental pour fédérer et inspirer le peuple.
La 17ᵉ édition du SIAO s’ouvre ainsi sous le signe de la continuité et de la revitalisation des traditions locales. Cet événement est d’autant plus symbolique qu’il met en lumière les œuvres de centaines d’artisans venus de tout le continent africain pour exposer leurs créations. Le capitaine Ibrahim Traoré incarne alors ce soutien fort et explicite, non seulement par sa présence, mais aussi par les initiatives concrètes qu’il déploie pour garantir la pérennité du secteur artisanal et culturel.
La promotion d’une consommation locale et de l’artisanat
Une des décisions phares du Président du Faso est l’instauration du référentiel « Consommons local », visant à encourager les Burkinabè à privilégier les produits artisanaux nationaux. Ce référentiel n’est pas une simple campagne ; il s’agit d’une politique de soutien aux artisans qui favorise la valorisation des matières premières locales et la réappropriation du savoir-faire traditionnel. En donnant ainsi la priorité à la consommation locale, le Président Ibrahim Traoré entend renforcer le tissu économique local tout en préservant l’authenticité des pratiques culturelles du Burkina Faso.
L’appui à la commercialisation des productions artisanales se traduit par des mesures concrètes visant à faciliter l’accès des artisans aux marchés nationaux et internationaux. Les jeunes, qui représentent une large part de la population burkinabè, bénéficient par ailleurs de programmes de formation aux métiers d’art et d’artisanat, une initiative qui permet non seulement de transmettre les savoir-faire mais aussi de fournir des opportunités d’emploi durable. Ce soutien à la formation est un acte de foi dans la jeunesse et dans la capacité de l’artisanat à se moderniser tout en restant fidèle à ses racines.
Une reconnaissance internationale et une protection du patrimoine
Le Burkina Faso, sous la gouvernance du capitaine Traoré, a également fait des pas de géant vers la reconnaissance internationale de son patrimoine. Des sites touristiques et culturels, chargés d’histoire et de symbolisme, ont été inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, donnant ainsi au pays une visibilité accrue sur la scène internationale. Ces inscriptions renforcent la fierté nationale tout en offrant au Burkina Faso un levier pour le développement d’un tourisme responsable et durable, lequel constitue un autre pilier économique potentiel pour le pays.
Par ailleurs, plus de créations artisanales burkinabè bénéficient désormais de la protection de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI). Cette reconnaissance protège les artisans des contrefaçons et leur permet de conserver les droits sur leurs œuvres originales, préservant ainsi l’authenticité et l’intégrité de l’artisanat burkinabè face aux marchés globalisés. Pour le capitaine Ibrahim Traoré, cette protection est essentielle car elle garantit que les artisans puissent vivre dignement de leur travail, tout en veillant à ce que leurs créations soient reconnues et respectées à leur juste valeur.
Un chef d’État présent et actif
Au-delà des réformes et des décisions politiques, le capitaine Ibrahim Traoré marque aussi les esprits par sa participation personnelle aux grands rendez-vous culturels du pays. En remettant le Prix du Président du Faso aux meilleurs exposants du SIAO, il encourage non seulement l’excellence, mais témoigne aussi de l’importance qu’il accorde à ceux qui travaillent sans relâche pour faire rayonner l’artisanat burkinabè. Ces récompenses sont bien plus que des distinctions symboliques : elles représentent un message clair de reconnaissance et de valorisation de l’effort individuel et collectif.
Cette approche inclusive et engagée permet au président Traoré de se positionner en tant que leader charismatique qui sait être proche des artisans et des créateurs. En participant activement à ces manifestations, il renforce la confiance des acteurs culturels envers le gouvernement et rappelle l’importance de la cohésion sociale autour de la culture et de l’artisanat.
Le SIAO, une fenêtre sur l’Afrique et le monde
Avec l’édition de cette année, le SIAO dépasse les frontières du Burkina Faso pour devenir une vitrine du savoir-faire africain dans sa diversité. Les artisans présents, venus des quatre coins du continent, apportent des œuvres qui témoignent de la richesse culturelle africaine et de sa créativité inépuisable. Cette plateforme, soutenue et promue par le président Traoré, est non seulement un lieu de partage et d’échange, mais aussi une opportunité pour les artisans de tisser des liens avec des acheteurs et des partenaires internationaux.
Le Président Ibrahim Traoré rappelle que l’artisanat, bien que souvent considéré comme un domaine secondaire, est un véritable moteur économique pour le Burkina Faso et pour l’Afrique dans son ensemble. « En soutenant le SIAO et d’autres manifestations culturelles, nous renforçons la place de l’artisanat burkinabè dans l’économie mondiale, tout en montrant au monde que notre culture est notre plus grande force », a-t-il affirmé.
Conclusion : Une vision de prospérité ancrée dans l’identité culturelle
Le capitaine Ibrahim Traoré a redonné un sens de fierté et de reconnaissance à la culture burkinabè. Par sa politique de soutien à l’artisanat, son encouragement à la consommation locale, sa protection du patrimoine culturel et sa participation active aux événements nationaux, il s’efforce de faire de la culture un pilier de développement pour le Burkina Faso. En mettant en avant les valeurs d’intégrité, de créativité et de résilience, il incarne cette volonté de faire de la culture burkinabè un moyen d’expression puissant et un vecteur de transformation sociale.
La 17ᵉ édition du SIAO, sous la présidence du capitaine Traoré, apparaît ainsi comme une célébration de l’identité culturelle burkinabè, mais aussi comme un message d’espoir pour l’avenir. En valorisant le patrimoine local, le Burkina Faso s’assure une place forte dans le concert des nations africaines, tout en rappelant que la culture est et restera le cœur battant de son peuple.
Saidicus Leberger
Pour Radio Tankonnon